Ce mois-ci c’est le mois de la lutte contre le cancer du sein, j’avais envie de vous partager une partie de mon mémoire de fin d’étude qui traite du coaching en soins palliatifs.
Le Docteur Julia Roland, responsable du programme « qualité de vie » de l’Institut National Américain du Cancer évoque lors d’une conférence à Washington, les résultats d’études portant sur les éléments qui font qu’une personne vit mieux sa maladie, s’en sort bien et vit plus longtemps malgré un diagnostic menaçant et parfois un pronostic de départ très sombre. Dans son analyse elle met en évidence les cinq facteurs qu’on retrouve le plus souvent chez ces personnes-là : Les personnes ont eu accès à des soins de très bonne qualité qui reflètent les standards les plus modernes dans les traitements disponibles, elles ont participé activement au choix de leurs traitements, en pesant le pour et le contre des différentes options et en parlant avec leurs médecins. Elles ont aussi fait le choix d’un style de vie qui maximise la résistance à la maladie (nutrition, activité physique, gestion du stress, tabac, alcool, expositions toxiques…), elles ont mis en place et utilisé un réseau d’amis et de connaissances pour être soutenues, à la fois sur un plan pratique (courses, ménage, etc.) et sur un plan émotionnel pendant la maladie, elles se sont posées des questions sur ce qui apporte le plus de sens à leur vie et se sont engagées activement dans ces voies-là. Elles ont développé des activités ludiques d’expression de leur créativité : musique, peinture, poterie, ou poésie… Et de conclure :
« Il est encourageant de savoir que ce qui permet de vivre plus longtemps c’est bien de s’engager sur le chemin de ce qui nourrit au mieux la vie ! ».
Cette phrase illustre bien ce que peut être un processus de coaching, le client va s’engager en coaching pour faire émerger ses propres ressources et donc se nourrir de cette démarche.
Parce que vous pouvez choisir votre chemin, n’hésitez pas à me contacter pour évaluer si mon approche correspond à vos attentes.